March 27, 2015

Publications Translated into French

We have translated a number of our journal articles and a major report from English into French, primarily to make them available to the francophone First Nations in Quebec. The translations are  provided by the First Nations Education Council in Wendake, Quebec.

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Publication #65F

Référence: Whiteduck, T. et B. Beaton (2014). Building First Nation Owned and Managed Fibre Networks across Quebec, Journal of Community Informatics, vol. 10, no 2.

Résumé : Au Canada, des petites communautés rurales et éloignées ne cessent de se battre pour obtenir un accès équitable et abordable aux connexions Internet à haute vitesse qui répondent à leurs priorités et besoins locaux. Le Conseil en Éducation des Premières Nations (CEPN) travaille actuellement avec les communautés qui sont ses partenaires à travers le Québec pour planifier et opérer un réseau à fibres optiques appartenant aux Premières Nations et administré par les Premières Nations, dans le but de fournir des connexions à large bande partout à l’intérieur de chaque communauté. Des partenariats publics et privés ont été établis par le CEPN pour financer et construire les réseaux régionaux et locaux qui connecteront ces communautés rurales et éloignées. Ce document décrit l’historique de la démarche et ses objectifs à long terme. Partager l’infrastructure et les services de soutien technique du réseau avec tous les autres prestataires de services (santé, administration, justice, police, logements, etc.) dans chacune de ces communautés aide à maintenir le niveau d’opérations et de maintenance du réseau.

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Publication #60F

Référence : Lockhart E., A. Tenasco, T. Whiteduck, S. O’Donnell (2014). Information and Communication Technology for Education in an Algonquin First Nation in Quebec, The Journal of Community Informatics, vol. 10, no 2.

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Publication #35-F

Référence : McMahon, R., O’Donnell, S., Smith, R., Woodman Simmonds, J., Walmark, B. (2010) Putting the ‘last-mile’ first: Re-framing broadband development in First Nations and Inuit communities. Vancouver: Centre for Policy Research on Science and Technology (CPROST), Simon Fraser University, December.

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Publication #34-F

Référence : O’Donnell, S., G. Kakekaspan, B. Beaton, B. Walmark, R. Mason et M. Mak. (2011). A New Remote Community-Owned Wireless Communication Service: Fort Severn First Nation Builds Their Local Cellular System with Keewaytinook Mobile, Canadian Journal of Communication, 36(4), 663-673.

RÉSUMÉ : La Première Nation de Fort Severn est une communauté d’une région éloignée accessible par avion située dans la baie d’Hudson dont le mode de vie reflète un respect et attachement profonds pour la terre. Le conseil tribal Keewaytinook Okimakanak (KO) a mis sur pied le service Keewaytinook Mobile (KM) dans les communautés des Premières Nations des régions éloignées du nord de l’Ontario. En novembre 2009, Fort Severn et KO ont établi ce service dans la communauté. La présente étude retrace l’histoire et la mise en œuvre du service KM à Fort Severn et décrit comment et pourquoi les membres de la communauté utilisent ce service. L’analyse est fondée sur des entretiens et des discussions avec des membres de la communauté, qui ont eu lieu lors de trois visites effectuées dans le cadre de cette étude entre mars 2010 et mars 2011.

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Publication #32-F

Référence: Gibson, K., Coulson, H.,Kakepetum-Schultz, T., O’Donnell, S. (2011) Mental health professionals’ perspectives of telemental health with remote and rural First Nations communitiesJournal of Telemedicine and Telecare 2011; 17: 263–267.

Résumé: Nous avons demandé à des travailleurs en santé mentale du Canada de répondre à un sondage en ligne et de participer à des entretiens en personne, et ceux-ci ont affirmé avoir de l’expérience de travail avec les communautés des Premières Nations des régions rurales et éloignées (mais pas nécessairement en télésanté mentale). Des 164 répondants au sondage, 63 ont déclaré avoir déjà travaillé avec des clients des Premières Nations des régions rurales et éloignées. Seulement 16 des répondants au sondage ayant déjà travaillé avec les communautés des Premières Nations des régions rurales et éloignées ont déclaré avoir reçu de la formation en visioconférence. Lorsqu’on leur a demandé à quelle fréquence ils utilisaient la visioconférence avec des clients, 51 % ont affirmé ne jamais utiliser cette technologie, 19 % ont indiqué l’utiliser une fois tous les deux ou trois mois et 10 % ont déclaré l’utiliser quelques fois par mois. Environ 50 % des participants ont affirmé trouver cette technologie utile. Environ 38 % ont indiqué qu’ils trouvaient la technologie facile ou très facile à utiliser, alors que 15 % la trouvaient très difficile à utiliser. Des entretiens individuels en profondeur ont également été effectués avec des professionnels qui avaient de l’expérience en télésanté mentale avec les Premières Nations (n = 5). Une analyse quantitative des données a été effectuée pour connaître leur perception de l’utilité et de la facilité d’utilisation des services de télésanté mentale, de même que la relation entre ces construits. Les avantages, les inconvénients et les défis liés à l’utilisation de la technologie ont été identifiés à partir des données qualitatives. Parmi les solutions prometteuses figure l’intégration des pratiques traditionnelles et des Sept enseignements sacrés aux services de télésanté mentale.

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Publication #31-F

Référence : Gibson,K.L., H. Coulson, R. Miles, C. Kakekakekung, E. Daniels et S. O’Donnell . ( 2011). Conversations on telemental health: listening to remote and rural First Nations communities, Rural and Remote Health Journal, 11,1656. Récupéré de http://www.rrh.org.au

RÉSUMÉ

Introduction : La télésanté mentale utilise des technologies telles que la visioconférence pour offrir des services et de l’information liés à la santé mentale, et pour relier les gens et les communautés afin de favoriser la guérison et la santé. Dans les communautés des Premières Nations des régions rurales et éloignées, il est parfois difficile d’avoir accès à des soins de santé mentale au sein de la communauté et d’avoir recours aux services de travailleurs en santé mentale de l’extérieur. La télésanté mentale est un outil et une approche de servicepouvant résoudre certaines de ces difficultés, et même aider les communautés des Premières Nations à atteindre leur objectif d’améliorer la santé mentale et le bien-êtrede leurs membres. Les points de vue des membres des communautés sur l’utilité et la pertinence de la télésanté mentale peuvent influencer considérablement le niveau d’engagement à l’égard du service. Il semble qu’il n’existe ni recherches, ni ouvrages sur le point de vue des membres des communautés des Premières Nations sur la question de la télésanté mentale, ni même sur le sujet plus large des technologies liées aux services de santé mentale. Par conséquent, cet article examinera les différents points de vue des membres de deux communautés des Premières Nations des régions rurales et éloignées de l’Ontario, au Canada, sur la question de la télésanté mentale.

Méthodes : La présente étude s’intègre dans le cadre de VideoCom, un projet de recherche collaborative qui explore les utilisations des technologies de l’information et des communications (TIC) par les communautés des Premières Nations des régions rurales et éloignées. Cette étude a été réalisée avec l’aide de Keewaytinook Okimakanak (KO), notre partenaire du nord-ouest de l’Ontario. Au printemps 2010, une équipe formée de membres du personnel de KO et de chercheurs de VideoCom a visité les deux communautés avec l’entière collaboration de leurs dirigeants. En utilisant une approche de recherche participative, nous avons interrogé 59 membres de ces communautés sur leur expérience avec les technologies, plus particulièrement sur leur point de vue à propos de la télésanté mentale. Une analyse thématique de ces données qualitatives ainsi qu’une analyse quantitative descriptive de l’information recueillie ont révélé la diversité des points de vue des membres des communautés. Enfin, d’après une discussion avec le personnel en télésanté mentale des communautés, une section intitulée « Pistes desolution » a été proposée comme moyen d’amorcer la résolution de certains problèmes soulevés par les membres des communautés.

Résultats : Cet article analyse le continuum des points de vue des membres des communautés, qui vont de l’intérêt et l’enthousiasme à l’hésitation et l’inquiétude. Une participante ayant utilisé les services de télésantémentale a indiqué que cette approche l’avait aidée à se sentir plus à l’aise avecle processus thérapeutique. D’autres participants ont exprimé des préoccupations quant à la pertinence et à la sécurité de cette approche. Une foule d’avantages (tels que l’utilité, la facilité de communication et un meilleur accès aux services) ainsi que d’inconvénients ou de préoccupations (comme l’interférence avec le renforcement des capacités et la confidentialité) sont ressortis des discussions. À la suite d’une procédure de codage, une analyse quantitative descriptive a révélé que 47 % des participants avaient une opinion favorable à la télésanté mentale, que 32 % avaient une opinion défavorable à ce sujet et que 21 % étaient indécis ou avaient une opinion neutre par rapport à la télésanté mentale.

Conclusions : La valorisation du savoir autochtone peut nous aider à comprendre l’expérience des membres des communautés par rapport à la télésanté mentale et leurs préoccupations à ce sujet, et à mettre en place des initiatives plus efficaces et appropriées. Grâce à la précieuse collaboration des coauteurs de Keewaytinook Okimakanak Telemedicine, nous proposons des pistes desolution aux préoccupations soulevées par les membres des communautés. Plus important encore, nous reconnaissons que les pistes de solution liées aux initiatives communautaires de télésanté mentale doivent être prises en charge par les communautés.

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Publication #28-F

Référence : Gratton, M.-F. et S. O’Donnell. ( 2011) Communication Technologies for Focus Groups with Remote Communities: A Case Study of Research with First Nations in Canada, Qualitative Research , 11(2),159-175.

Résumé : Les technologies des communications offrent aux chercheurs spécialisés dans la recherche qualitative davantage d’options pour effectuer des recherches avec les communautés éloignées. Il n’est pas toujours possible pour les chercheurs de se rendre dans ces communautés pour réaliser des entretiens et diriger des séances de discussion en personne, plus particulièrement lorsque les déplacements requièrent beaucoup de temps et d’argent. Cette raison est souvent invoquée pour expliquer l’absence de recherches qualitatives avec des participants vivant dans des communautés des Premières Nations (autochtones) des régions éloignées du Canada. Cet article présente une étude de cas réalisée selon une approchede recherche élaborée en collaboration avec K-Net et KORI (Keewaytinook Okimakanak), nos partenaires du nord-ouest de l’Ontario. L’étude portait sur les préférences en matière d’information en ligne sur la santé des membres des communautés des Premières Nations des régions éloignées. En collaboration avec K-Net, nous avons élaboré une approche afin d’utiliser la visioconférence multisite avec des groupes de discussion, ce qui a permis des échanges audio et visuels en direct entre la chercheuse à Ottawa et les participants de plusieurs communautés des Premières Nations des régions éloignées. Dans notre conclusion,nous encourageons d’autres chercheurs à essayer cette approche novatrice afin d’inclure dans les projets de recherche participative davantage de membres des communautés des Premières Nations des régions éloignées.

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Publication #22-F

Référence : O’Donnell, S. , Walmark, B., Hancock, B-R. (2010) Videoconferencing in Remote and Rural First Nations Communities, in White, J., Peters, J., Beavon, D., Dinsdale, P. (eds) Aboriginal Policy Research Volume 6: Learning,Technology, and Traditions. Toronto: Thompson Educational Publishing, 128-139.

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Publication #21-F

Référence : McKelvey, F., O’Donnell,S. (2009) Out from the edges: multi-site videoconferencing as a public sphere in First Nations. Journal of Community Informatics, 5(2)

Résumé :
Cet article examine la visioconférence multisite au nord de l’Ontario en tant que sphère publique. La théorie du public met en évidence l’effet politique de la visioconférence multisite et la façon dont la technologie contribue au bien-être de la communauté. Pour analyser les effets politiques de la visioconférence, l’article décrit un cas d’utilisation communautaire de la visioconférence multisite en s’appuyantsur l’analyse de vidéos et d’entretiens semi-structurés. Réalisé en 2007, ce projet avait pour but de mettre en contact des communautés des Premières Nations de partout au Canada au moyen d’échanges audiovisuels en simultanée. K-NetServices, un organisme de l’Ontario, a organisé la réunion afin d’évaluer la faisabilité des réunions publiques au moyen de la visioconférence et de fournir un exemple d’utilisation communautaire de la technologie. K-Net Services travaille à développer son infrastructure de visioconférence en tant qu’espace public. Nos résultats suggèrent que les activités de K-Net ont créé une institution médiatique mieux comprise comme une contre-sphère publique pour la région desservie par l’organisme. L’étude de cas démontre une opportunité d’intégrer davantage la visioconférence dans le développement communautaire.

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Publication #20-F

Référence : Milliken, M., O’Donnell, S., Gorman, E. (2009) How K-Net and Atlantic Canada’s First Nation Help Desk are using videoconferencing for community development. Journal of Community Informatics 5(2).

Résumé :
Notre recherche a été effectuée en partenariat avec trois organismes des Premières Nations, soit KeewaytinookOkimakanak, l’organisme de K-Net à Sioux Lookout, en Ontario, l’Atlantic Canada’s First Nation Help Desk, un organisme de Membertou, au Cap-Breton, en Nouvelle-Écosse, ainsi que le Conseil en Éducation des Premières Nations, un organisme de Wendake, au Québec, qui ont mis en place des réseaux de visioconférence reliant des communautés des Premières Nations réparties sur de vastes zones géographiques. Ces réseaux de communication, initialement mis en place à desfins de santé et d’éducation, se sont développés depuis le milieu des années 1990 sur le plan de l’application, de la portée et de l’étendue afin d’inclure des activités de développement culturel, social et communautaire. Les données qualitatives recueillies dans le cadre de 15 entretiens approfondis menés auprès du personnel technique et administratif de K-Net et de l’Atlantic Canada’s First Nations Help Desk révèlent comment leur approche en matière d’établissement de relations de réseautage et leurs applications de la visioconférence à d’autres fins ont contribué au développement des communautés des Premières Nations qu’ils desservent.

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Publication #19-F

Référence : Perley, S. (2009) Representation and Participation of First Nations Women in Online Videos. Journal of Community Informatics 5(1).

Résumé :
Grâce à la multiplication des sites Web departage de vidéos et des ressources pour créer et téléverser des vidéos, les femmes des Premières Nations peuvent utiliser une sphère publique alternative pour représenter des problèmes qu’elles ne peuvent habituellement pas aborder au moyen des médias traditionnels. Une analyse critique de la représentation et de l’implication des femmes des Premières Nations dans les vidéos en ligne donne un aperçu de la façon dont ces femmes utilisent les nouvelles TIC pour remettre en question les hypothèses des médias traditionnels et la représentation de femmes des Premières Nations. Cet article explore dans quelle mesure les vidéos en ligne produites par les femmes des Premières Nations sont susceptibles de créer une sphère publique alternative où ces femmes peuvent se représenter, exprimer leur point de vue et promouvoir le changement social.

Cliquez ici pour la version anglaise de cette publication, Publication #19.

 

Publication #15-F

Référence : O’Donnell, S ., Perley, S.,Walmark, B., Burton, K., Beaton, B., Sark, A. (2009) Community-based broadband organizations and video communications in remote and rural First Nations in Canada. In Stillman, L., Johanson, G., and French, R. (eds) Communities in Action. Newcastle upon Tyne, UK: Cambridge Scholars Publishing, 107-119.

Résumé : Cette recherche montre comment deux organismes communautaires des Premières Nations utilisent les communications vidéo sur des réseaux à large bande afin d’appuyer le développement socioéconomique. Cette étude situe K-Net et l’Atlantic Canada’s First Nation Help Desk dans un mouvement social plus large visant l’auto détermination pour les Premières Nations du Canada au moyen des communications vidéo. Les communications vidéo sur les réseaux à large bande comprennent les visioconférences (en direct et archivées) et les vidéos en ligne. La méthodologie de recherche comprend l’analyse de centaines de visioconférences et de vidéos archivées par les deux organismes, de même que des entretiens avec des informateurs clés.

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Publication #14-F

Référence : O’Donnell, S. , Perley, S., Simms, D., and Hancock, B-R. (2009) Video Communication Roadblocks Facing Remote Indigenous Communities. & Society Magazine, 28 (2),Summer,16-22.

Résumé : De plus en plus, les communautés rurales et éloignéesont accès aux réseaux à large bande. Ces réseaux offrent de nouvelles possibilités pour des communications vidéo intéressantes. Au Canada, les organismes et les membres de ces communautés échangent des données audiovisuelles au moyen des réseaux à large bande. Ils utilisent la visioconférence, la visioconférence multisite et le partage de vidéos en ligne.Toutefois, des défis sociaux et techniques se posent et freinent le développement de ces utilisations au sein des communautés.

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